Citations correspondant à « mélodieux » : 13 citations trouvées dans le Littré
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Ce soupir de la nuit pieuse, Oiseau mélodieux, c'est toi ! LAMARTINE Harm. Au rossignol mélodieux, euse
En vain vous me frappez d'un son mélodieux, Si le terme est impropre ou le tour vicieux BOILEAU Art p. I impropre
En vain vous me frappez d'un son mélodieux, Si le terme est impropre ou le tour vicieux.... BOILEAU Art p. I mélodieux, euse
En vain vous me frappez d'un son mélodieux, Si le terme est impropre, ou le tour vicieux BOILEAU Art p. I son [3]
Moi, je meurs ; et mon âme, au moment qu'elle expire, S'exhale comme un son triste et mélodieux LAMARTINE Méd. I, 29 triste
À leurs chants on croirait entendre dans les cieux De cygnes argentés un choeur mélodieux DELILLE Énéide, VII cygne
Tel, au sein de la nuit et de la forêt sombre, L'oiseau mélodieux chante caché dans l'ombre DELILLE Parad. perdu, III mélodieux, euse
Ovide, en vers doux et mélodieux, Sut débrouiller l'histoire de ses dieux : Trop indulgent au feu de son génie, Mais varié, tendre, plein d'harmonie ROUSSEAU J.-B. Épît. I, 3 indulgent, ente
Son nom [de Dieu] tel que la nature Sans paroles le murmure, Tel que le savent les cieux ; Ce nom que l'aurore voile, Et dont l'étoile à l'étoile Est l'écho mélodieux LAMARTINE ib. II, 13 nom
Apamis raconta ses malheureux amours En mètres qui n'étaient ni trop longs ni trop courts ; Dix syllabes par vers mollement arrangées Se suivaient avec art et semblaient négligées ; Le rhythme en est facile, il est mélodieux, L'hexamètre est plus beau, mais parfois ennuyeux VOLTAIRE les Trois manières. hexamètre
Nulle cadence, nul accent mélodieux dans les airs du peuple ; les instruments militaires, les fifres de l'infanterie, les trompettes de la cavalerie, tous les cors, tous les hautbois, les chanteurs des rues, les violons de guinguette, tout cela est d'un faux à choquer l'oreille la moins délicate ROUSSEAU Hél. II, 23 faux, fausse [1]
Nous nous hâtâmes de sortir de ces lieux, et bientôt nous fûmes attirés par les sons mélodieux d'une lyre, et par des voix plus touchantes encore ; c'était la théorie ou députation que ceux de Delphes envoient de neuf en neuf ans à Tempé BARTHÉLEMY Anach. ch. 35 théorie [2]
Ah ! si jamais ton luth [de Byron], amolli par les pleurs, Soupirait sous tes doigts l'hymne de tes douleurs..., Jamais, jamais l'écho de la céleste voûte, Jamais ces harpes d'or que Dieu lui-même écoute, Jamais des séraphins les choeurs mélodieux De plus divins accords n'auraient ravi les cieux LAMARTINE Méd. I, 2 harpe [1]